Ma Marche avec les Camarades, d’Arundhati Roy, est un symbole de l’écrivaine journaliste et progressiste, très réaliste, non dominé par une idéologie et critique même à l’égard de ceux qu’elle a relativement supportée.
L’histoire de mon acquisition du livre remonte à 2013 lorsque les camarades Christoph et Barbara Krämer et Dr. Ibrahim Lad’a m’ont rendu visite chez moi. Dans notre longue discussion, il a promis de m’envoyer le livre d’Arundhati Roy. Deux mois plus tard, Christoph a dit à Lad’a que le livre lui avait été retourné par la poste. Donc, j’ai dû attendre 2018 pour recevoir personnellement le livre de Lada’a après sa visite en Allemagne. La vérité est que tous les aspects de la vie en Palestine occupée sont captifs d’ « Israël », le Régime Sioniste Ashkénaze (RSA), y compris les services postaux.
Le livre a été consacré à la lutte des guérillas indiennes maoïstes contre :
- La répression de la classe dirigeante capitaliste interne au nom de l’Etat, en particulier contre la paysannerie pauvre et
- Les politiques externes de l’État aux services des entreprises multinationales (MNC), mais sur une base économique.
La classe dirigeante et les multinationales répriment et exploitent toutes deux les paysans indiens.
Ce qui me vient à l’esprit, c’est que depuis le cas de l’Inde, sans parler de la corruption des régimes en Afrique du Sud et au Brésil, est-ce que les BRICS pourrons offrir un pôle mondial différent, même capitaliste, contre la domination/exploitation capitaliste occidental.
Depuis les premières pages du livre jusqu’à sa fin, je n’ai pas oublié trois questions importantes :
Premièrement : une phrase fausse que j’ai entendue au cours du Développement du Tiers Monde à l’université BirkbeckCollege de Londres, « l’Inde est le plus grand État démocratique du monde ». Toutefois, en tant que travail documenté, le livre prouve que l’Inde est le plus grand régime totalitaire et répressif du monde.
Deuxièmement : une auto-critique impressionnante du camarade BT Ranadive sur son rôle dans le leadership du Parti Communiste d’Inde vis-à-vis de la révolution chinoise et de Mao serait évidente dans cet “auto-critique” publié dans l’organe Janashakti du CC du CPI (ML) Janashakti, Vol-7. N ° 5 Septembre – Octobre 99 Rs. 5 pp 34-48. (Voir aussi Atis Sen une approche de Naxalbari : perspective historique, Janashakti, vol-8, n ° 1 janvier-février 2000 RS.5, pp. 20-47. Le contenu de cette autocritique concerne l’incapacité du CPI à adopter la guerre de guérilla pour prendre le pouvoir en Inde dans les années 1948 et après. Bien que ce ne soit pas une analyse matérialiste historique de dire que « si » le Parti Communiste d’Inde avait adopté la stratégie de guérilla maoïste depuis cette époque, le visage de l’Asie et du monde pourrait être différent aujourd’hui.
Troisièmement : Les faux médias des progressistes arabes sous le régime égyptien de Naser, qui ont brossé un tableau optimiste du régime indien du Parti du Congrès sous Jawaharlal Nehru, notamment son rôle dans le mouvement des non-alignés : une fausse image qui masque la face de l’aide du régime indien aux niveaux locaux et extérieurs.
Cependant, la lutte de guérilla promise par les révolutionnaires indiens a dû attendre les années 1940 jusqu’à ce que le Parti Communiste d’Inde (Maoïste) – CPI (Maoïste) – l’un des nombreux descendants du Parti Communiste d’Inde (Marxiste-léniniste) puisse se séparer du CPI et mène le soulèvement de Naxalite en 1969 au Bengale occidental.
Roy a écrit son livre pendant son voyage avec les maoïstes à l’intérieur des forêts, vivant, discutant et souffrant avec et comme eux. C’est pourquoi son travail est vraiment vivant et authentique.
De son côté, Roy n’a pas caché son plaisir du traitement humble et poli des maoïstes :
« le camarade Madhav […] est désolé et se confond en excuses […] nous vous avons fait attendre, nous vous avons fait marcher tellement » p. 61
Position maoïste
Selon Roy, « les maoïstes croient que l’inégalité structurelle innée de la société indienne ne peut être corrigée que par le renversement violent de l’État indien » p. 6
C’est le fil conducteur qui a mené le travail de l’écrivaine sur la stratégie des maoïstes tout au long du livre. Malgré le courage de l’écrivaine et sa sympathie pour les maoïstes, elle a adopté une attitude et une conclusion différentes concernant l’avenir de l’Inde et du monde :
« … À en juger par ce qui se passe en Russie, en Chine et même au Vietnam, les sociétés communistes et capitalistes semblent avoir une chose en commun : l’ADN de leurs rêves. Après leurs révolutions, après avoir bâti des sociétés que des millions de travailleurs et de paysans ont payé de leur vie, ces pays ont maintenant commencé à renverser certains des acquis de leurs révolutions et se sont transformés en économies capitalistes débridées. L’alternative, s’il en existe une, émergera des lieux et des personnes qui ont résisté aux impulsions hégémoniques du capitalisme et de l’impérialisme au lieu d’être assimilés […] Nous avons une tradition vivante de ceux qui ont lutté pour la vision de Gandhi de la durabilité et de l’auto-suffisance, pour des idées socialistes d’égalitarisme et de justice sociale […] Nous avons la coalition la plus spectaculaire de mouvements de résistance, avec leur expérience, leur compréhension et leur vision. » p. 211-13
« Le premier pas pour réinventer un monde qui a terriblement mal tourné serait de mettre un terme à l’anéantissement de ceux qui ont une imagination différente, une imagination qui échappe au capitalisme et au communisme. » p. 214
Mais sans se disputer avec l’humanité ghandienne de l’écrivaine, elle a perdu la dimension la plus importante et la plus sensible qui couvrait tout son travail : c’est la dimension de classe. En d’autres termes, je ne débattrai pas avec Roy d’un point de vu idéologique communiste et proche du maoïsme, mais de ce qu’elle explique courageusement comme le conflit antagoniste entre les centaines de millions de paysans opprimés et exploités par quelques millions de capitalistes indien et leurs maîtres des multinationales occidentales.
Relations avec le peuple
«[…] Le retour à un semblant de dignité est dû en grande partie au cadre maoïste qui a vécu, travaillé et combattu à ses côtés pendant des décennies» p. 7
Cela pourrait expliquer mieux qui sont les maoïstes et pourquoi ils insistent sur le « seul » chemin « violent de renversement de l’État indien ».
L’importance de cette voie est qu’elle reflète l’insistance et la continuité des luttes maoïstes de guérilla en tant que phénomène prolongée d’une part, et leur succès à obtenir le soutien des paysans leur permettant de recruter des combattants paysans au sein de leur organisation d’autre part.
« […] Que ce soit les forces de sécurité ou les maoïstes ou les civils non combattants, les plus pauvres mourront dans cette guerre populaire de riches » p. 16
‘Cest pourquoi les plus pauvres soutiennent et beaucoup d’entre eux sont organisés avec les maoïstes.
Roy propose une interprétation de la propension des paysans en faveur des maoïstes: leur besoin de justice est absent des tribunaux des États:
« […] impossible d’accès pour les gens ordinaires, la lutte armée qui a éclaté au cœur du pays n’est pas la première, mais la toute dernière option d’un peuple désespéré poussé a bout […] La police semble prendre directement ses ordres des employés qui travaillaient pour des sociétés minières. Les gens ont décrit le rôle douteux et indigne joué par certaines ONG financées par des organismes d’aide entièrement dévoués à promouvoir les plans de certaines entreprises. » p. 18-19
Pour cacher sa face hideuse durant la guerre froide, l’impérialisme a conçu des ONG dont le rôle principal est de servir son « capital » divin. Mais c’est un phénomène sournois. Dans certains endroits et à certains moments, ces ONG tentent de jouer un rôle humanitaire ou peuvent être invitées à le faire pour couvrir son rôle plus important qui est d’être un outil au servir du sale capital.
La dévotion à la révolution pourrait être un facteur décisif pour gagner la sympathie des paysans qui répètent toujours:
« […] Nous donnerons nos vies, mais jamais notre terre » p. 22
C’est la même chose exigence et le même sacrifice pour les maoïstes :
« […] Un camarade de l’Armée Populaire de Libération (PLGA) : Le (PLGA) a été officiellement constitué en décembre 2000. C’est une armée entièrement volontaire. Personne n’est payé. Les femmes constituent 45% de ses cadres. » p. 66
Ils appliquent et adoptent le concept de Mao: « les guérilleros sont comme des poissons et le peuple est l’eau dans laquelle ils nagent »
“[…] Les règles ont été définit par CharuMazumdar, le fondateur et théoricien en chef du mouvement naxalite, qui a déclaré: le président de la Chine est notre président. La voie de la Chine est notre voie”.
De fait, il n’est pas étonnant que les paysans DOIVENT se tenir avec ceux qui les protègent, protègent leurs terres, et confisquent les terres occupées par les féodaux et les multinationales pour les distribuer aux paysans.
Les éléments suivants pourraient soutenir mon opinion:
« […] Ce sont des gens de l’ombre […] Ils dorment dans la rue, mangent dans la rue, font l’amour dans la rue, accouchent dans la rue, sont violés dans la rue, coupent leurs légumes, lavent leurs vêtements et élèvent leurs enfants, coute que coute, dans la rue. » p. 153
tuent, volent des bijoutiers, des poulets, des cochons, des casseroles, des arcs et des flèches, les chimistes ont pour instruction de ne pas laisser les gens acheter des médicaments, sauf en très petite quantité. » p. 137
En décrivant la manière dont la police torture un militant maoïste, Roy écrit:
« […] En janvier 2007, plus de 700 policiers ont encerclé un village parce qu’ils avaient entendu dire qu’il était là. Le camarade Niti est considéré comme si dangereux qu’on le chasse avec beaucoup de désespoir. »
« […] Quand ils lui ont cassés les genoux, la police a expliqué que c’était pour s’assurer qu’elle ne marcherait plus jamais dans la jungle. »
Cela nous rappelle la déclaration de l’ancien Premier ministre sioniste Yitzhak Rabin contre les jeunes palestiniens lors de l’Intifada de 1987: « Nous devons leurs casser les os ».
« […] Ils parlaient de combien de centaines de milliers de roupies de pots-de-vin cela coutait pour qu’un homme trouve un emploi dans les forces paramilitaires et comment la plupart des familles ont des dettes énormes à payer pour ce pot-de-vin. […] la seule façon de rembourser la dette est de faire ce que font les policiers en Inde, c’est à dire faire chanter et menacer les gens, faire du racket de protection, demander des remboursements, se mêler à des sales affaires. » p. 90
« Même les enfants des villages savent que la police travaille pour les «compagnies» et que l’opération Green Hunt n’est pas une guerre contre les maoïstes. C’est une guerre contre les pauvres. » p. 192
Les paysans ont réagi avec violence et par vengeance, et cela même sans être maoïstes:
« […] À quelques occasions, des fonctionnaires ont été capturés, attachés à des arbres et battus par des villageois. C’était une vengeance cathartique pour une génération d’exploitation. Finalement, le ministère des forêts a fui. Entre 1986 et 2000, le parti a redistribué 300 000 acres (1214 kilomètres carrés) de terres forestières. Aujourd’hui, dit le camarade Venu, il n’y a pas de paysans sans terre à Dandakaranya. » p. 74
Que ce soit à cause de la répression étatique ou pour la défense et la protection du peuple, les maoïstes sont sans relâche:
« […] chaque fois, ils ont refait surface, plus organisés, plus déterminés et plus influents que jamais. » p. 42
Un front contre-révolutionnaire d’un Etat «de gauche» et des multinationales !
« […] Mahendra Karma est un des plus grands propriétaires terriens de la région était membre du Parti Communiste Indien (CPI). En 1990 […] il a formé un groupe d’environ 300 hommes, pour fouiller la forêt, tuant des gens, brûlant des maisons et agressant des femmes. » p. 79
« […] Pour ça, ils sont dénoncés comme “aventuriste”, charge par laquelle plusieurs courants de gauche ont toujours taxé les maoïstes. » p. 32
« […] En janvier 2007, plus de 700 policiers ont encerclé un village parce qu’ils avaient entendu dire qu’il était là. Le camarade Niti est considéré comme si dangereux qu’on le chasse avec beaucoup de désespoir. »
« […] Pour que le régime puisse recruter des gens contre les maoïstes, il se sert des fondamentalismes antagonistes des musulmans et des hindous! » p. 34
Utiliser la religion est un phénomène bourgeois international. Il a commencé par le sionisme avant même la création du Régime Sioniste Ashkénaze (RSA) en 1948. Le faux nom de ce phénomène est «politique»: islam, christianisme, judaïsme, hindou, etc. C’est en fait la politisation de la religion, utilisant la religion comme outil politique.
L’exemple indien est le parti hindou BahartiaGanata qui accepte la constitution indienne laïque mais essaie d’appliquer les directives de la religion hindoue. Le parti sikh Akali Dal fait de même.
Une Inde, plusieurs Indes!
« […] Le problème, c’est que l’Inde vit plusieurs siècles en même temps » p. 195
L’Inde est un cas très hétérogène aux niveaux social, politique et international. D’un côté, il y a un mode de production féodal avec les paysans dans une situation terrible, de l’autre il y a une classe bourgeoise profondément investie dans le capitalisme mondial, y compris dans les multinationales. Cela nous rappelle l’apport de Lénine de «l’articulation des modes de production» en Russie avant 1917, où cinq modes de production coexistaient sous forme d’articulation-contradiction.
« […] Des manifestations contre le barrage de Bodhghat, Dandakaranya en 2010 […] Plus de 60 millions de personnes ont été déplacées par le dénuement rural, une lente famine, par les inondations et par la sécheresse, par les mines, par les aciéries et les fondeurs, par les autoroutes et voies rapides, par les 3,300 grands barrages construits depuis l’indépendance et maintenant par des zones économiques spéciales. » p. 157
Ici, l’exploitation est mixte, là où la police d’État féodal et les multinationales travaillaient main dans la main, c’est-à-dire au service des capitalistes parasites locaux et du capital international.
« […] 650 millions d’agriculteurs et de travailleurs agricoles, qui représentent que 18% de notre PIB. Regardez notre secteur informatique. Il emploi 0,2% de la population et nous rapporte 5% de notre revenu national […]Soixante pour cent de nos effectifs sont des travailleurs indépendants. Quatre-vingt-dix pour cent de notre main-d’œuvre sont des travailleurs indépendants du secteur non organisé. » p.160
En même temps, l’Inde, qui est aussi vaste qu’un continent avec plus d’un milliard de gens, prie à genoux le FMI:
« […] P.V. Narashima a sollicité un prêt d’urgence auprès du Fonds Monétaire International (FMI). Le FMI a accepté, sous deux conditions. La première était l’ajustement structurel et la réforme économique. »
Mais la même Inde féodale et dépendante est une puissance coloniale:
« […] Pratiquement à partir du moment où l’Inde est devenue une nation souveraine, elle est devenue une puissance coloniale, annexant des territoires, menant des guerres. Elle n’a jamais hésité à recourir à des interventions militaires pour résoudre des problèmes politiques – Cachemire, Hyderabad, Gao, Nagaland, Manipur,Telangana, Assam, Punjab […] » p. 123
Ironiquement, les rapports de la Banque mondiale et du FMI louent la croissance de l’Inde comme étant l’une des plus élevés.
Le sionisme est là
Aux yeux des classes populaires de la patrie arabe, l’image de l’Inde est celle d’un pays ami. La réalité est différente, surtout en ce qui concerne les intérêts des classes dirigeantes contre leurs ennemis conjoints. Le RSA joue un rôle mondial contre les mouvements de libération nationale, mais ce rôle est encore inconnu pour de nombreux arabes et autres en raison des mensonges de la machine médiatique officielle contrôlée et dirigée par les classes capitalistes au niveau mondial.
« […] Un article sur Internet indique que le Mossad israélien forme trente officiers de la police indienne de haut rang aux techniques d’assassinats ciblés, afin de “couper la tête” à l’organisation maoïste. La presse parle d’un nouveau matériel acheté depuis Israël: des télémètres laser, des équipements d’imagerie thermique et des drones, connu par l’armée américaine comme étant des armes parfaites contre les pauvres » p. 45
L’évaluation finale de Roy sur les maoïstes
« […] Cependant, leur inflexibilité doctrinale, leur incapacité à exprimer leur désaccord ou à travailler avec d’autres formations politiques, et surtout leur imagination militaire monotone, les rendent trop faible pour remplir un vide politique qui est la » p. 208
Dans son interview avec le camarade Roopi: « […] Il a questioné sur un entretien que j’avais faite peu de temps après que les maoïstes aient attaqué Rani Bodili, une école de filles à Dantewada. Plus de cinquante policiers et officiers de police avaient été tués lors de l’attaque. Nous étions heureux que vous ayez refusé de condamner notre attaque de Rani Bodili, mais alors, dans le même entretien, vous avez dit que si les maoïstes viendraient un jour au pouvoir, la première personne qu’ils pendraient serait probablement vous […] » J’aurais probablement commencé par parler des purges de Staline, dans lesquelles des millions de personnes ordinaires et près de la moitié des 750 000 officiers de l’Armée rouge étaient soit emprisonnés, soit abattus, et 98 des 139 membres du Comité central ont été arrêtés; Le prix du Grand Bond en Avant de la Chine et de la Révolution Culturelle ont été très chers; et cela aurait pu continuer avec l’incident de Padamallapuran dans l’Andhra Pradesh, lorsque les maoïstes, dans leur ancien avatar du Groupe Guerre Populaire, ont tué le sarpanch du village et agressé des femmes pour avoir refusé d’obéir à leur boycott » p. 209
Malheureusement, Roy tombe dans le piège de la propagande contre-révolutionnaire, rependu en particulier par ceux qui ont été punis par Staline et Mao. Il est vraiment étrange qu’elle n’ait pas mentionné le nombre incalculable de victimes du capitalisme occidental à l’ère coloniale, impériale et mondiale. Elle n’a même pas mentionné les victimes soviétiques dues à l’invasion impérialiste de l’URSS de 1918. C’est sans compter les victimes de la Triade en Syrie, en Irak, en Afghanistan, au Yémen… etc.
Elle a également écrit:
« […] Les maoïstes ne croient pas que le système actuel puisse rendre justice. »
Leur point de vue sur ce qui se passe ne concerne ni le chagrin ni le patriotisme, c’est un simple bilan comptable. » p. 90
Enfin, les maoïstes luttent toujours contre leurs différents ennemis. Leur longue et guerre prolongée de guérilla prouve que cette forme de lutte est toujours possible malgré les armes impérialistes sophistiquées. Le fusil et l’idéologie sont capables de défier la contre-révolution.
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L’original de cet article a été publié sur ce site, en Anglais.
On peut le consulter sur le lien suivant:
https://kanaanonline.org/en/2018/09/12/maoism-and-rifle-will-never-be-defeated-by-adel-samara/
Les opinions et vues exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement l’opinion du comité de rédaction de Kana’an.